Un petit mot sur la shtite claque de Joey Star
Je vais être clair dès le départ: j'en ai autant rien à foutre de Joey Starr que de l'autre baltringue dont j'ai oublié le nom.
La "polémique" du jour est tellement insignifiante que j'avais même pas prévu de réagir, mais j'ai mon aprem de libre alors je vais déblatérer un peu, ta cousine en double anal à l'arrière de la BX.
Au delà de la "gifle" en question (méritée, ça va deux minutes), j'ai lu des commentaires d'internautes scandalisés par la "violence" de Joey Starr, ce qui nous permet de constater l'exceptionnelle tafiollisation de la société.
Hopop, arrête tout de suite d'écrire ton commentaire pété qui commencerait par "Marsault fait l'apologie de la violence, il est incapable de discuter calmement sans sortir une matraque télescopique, il vient du Moyen-Âge et il est bête".
J'aimerai poser une question à ceux qui condamnent Joey pour sa "réaction": quand un mec relou et fragile vient te péter les couilles, te parler fort dans l'oreille, te tripoter la tête et tenter de te faire un bisou, alors que tu l'as déjà prévenu qu'il allait s'en prendre une s'il continuait à faire chier, tu fais quoi? Bah tu lui colles une tarte, voilà.
Et puis merde, regardez la gueule de la "gifle" en question. Une gifle, c'est un truc qui part de loin et qui s'entend à dix mètres quand ça arrive dans le tympan, rien à voir avec la pichenette d'agacement dont on parle.
Cette polémique me rappelle celle de la fessée, il y'a quelques-années, avec des députés chiasseux et des connasses pénibles qui t'expliquaient que ton gosse allait devenir un psychopathe si tu lui donnais une tape sur le cul.
On n'est tellement plus habitués à réagir énergiquement qu'on déclenche des discussions de trois jours sur le thème "Est-ce bien raisonnable et réfléchi de coller une tarte à un gars qui vient te faire chier alors que t'es posé dans ton canapé", c'est désespérant.
Sans compter que, blague à part, machin truc (impossible de me rappeler de son nom tellement je m'en branle) a bien moins perdu son honneur en prenant une gifle qu'en se faisant maltraiter H24 à travers ses défis pitoyables et les humiliations de ses "amis".
Pour finir, en synthétisant: privilégiez le dialogue quand c'est possible, collez une baffe quand ça ne l'est plus.
Marsault
Je vais être clair dès le départ: j'en ai autant rien à foutre de Joey Starr que de l'autre baltringue dont j'ai oublié le nom.
La "polémique" du jour est tellement insignifiante que j'avais même pas prévu de réagir, mais j'ai mon aprem de libre alors je vais déblatérer un peu, ta cousine en double anal à l'arrière de la BX.
Au delà de la "gifle" en question (méritée, ça va deux minutes), j'ai lu des commentaires d'internautes scandalisés par la "violence" de Joey Starr, ce qui nous permet de constater l'exceptionnelle tafiollisation de la société.
Hopop, arrête tout de suite d'écrire ton commentaire pété qui commencerait par "Marsault fait l'apologie de la violence, il est incapable de discuter calmement sans sortir une matraque télescopique, il vient du Moyen-Âge et il est bête".
J'aimerai poser une question à ceux qui condamnent Joey pour sa "réaction": quand un mec relou et fragile vient te péter les couilles, te parler fort dans l'oreille, te tripoter la tête et tenter de te faire un bisou, alors que tu l'as déjà prévenu qu'il allait s'en prendre une s'il continuait à faire chier, tu fais quoi? Bah tu lui colles une tarte, voilà.
Et puis merde, regardez la gueule de la "gifle" en question. Une gifle, c'est un truc qui part de loin et qui s'entend à dix mètres quand ça arrive dans le tympan, rien à voir avec la pichenette d'agacement dont on parle.
Cette polémique me rappelle celle de la fessée, il y'a quelques-années, avec des députés chiasseux et des connasses pénibles qui t'expliquaient que ton gosse allait devenir un psychopathe si tu lui donnais une tape sur le cul.
On n'est tellement plus habitués à réagir énergiquement qu'on déclenche des discussions de trois jours sur le thème "Est-ce bien raisonnable et réfléchi de coller une tarte à un gars qui vient te faire chier alors que t'es posé dans ton canapé", c'est désespérant.
Sans compter que, blague à part, machin truc (impossible de me rappeler de son nom tellement je m'en branle) a bien moins perdu son honneur en prenant une gifle qu'en se faisant maltraiter H24 à travers ses défis pitoyables et les humiliations de ses "amis".
Pour finir, en synthétisant: privilégiez le dialogue quand c'est possible, collez une baffe quand ça ne l'est plus.
Marsault