8)
Replay: (placé dans "Rome:Total-War/napoleonic/battle replays")
http://files.filefront.com/Fullin+guerilliarpy/;12589781;/fileinfo.html
Avec juste 5900 florins, aucune artillerie et aucune cavalerie, juste des guérilléros assoiffés de VENDETTA (pas Mickael), j'ai réussi à terroriser l'ennemi, puis, à le battre !
Après avoir caché toutes mes unités, en les disséminant soigneusement un peu partout sur le champ de bataille, j'ai pris l'initiative d'aller provoquer l'ennemi avec les fesses à l'air de mon général.
Fullin, pensant à une mauvaise blague de ma part en ne voyant aucune unité se présenter devant lui, envoya tout d'abord un détachement de deux cavaleries lourdes qui se dirigèrent tout droit vers un groupe de mes guérilléros enragés pour n'en découvrir la position que trop tardivement.... Le choc fut entier. Selon lui, il n'était même pas au courant de l'existence de cette unité :roll: ..... Soit, cela ne changea guère ses dispositions pour la bataille.
Voyant sa cavalerie se faire tailler en pièce par une bande d'ibériques mal vêtus et mal chaussés, avec la rage au ventre, il se précipita en formation colonne de marche vers le centre de la carte, pour n'y rencontrer qu'une résistance encore plus vivace.
Complètement surpris et dérouté par l'intrépidité de mes valeureux paysans armées, pour ne pas dire "pris de panique", je pris la décision de passer à l'offensive.
J'entrepris à ce moment un grand mouvement général avec mes troupes vers le centre de la carte où l'ennemi, toujours hésitant, n'avait pas changé de formation et restait déployé en colonne de marche....
Désorienté, fatigué des innombrables apparitions et disparitions de ce que les prussiens qualifièrent de "Gespenstersoldaten", (soldats fantômes) l'ennemi commença à céder du terrain et bout par bout, parti en déroute.
Appliquant quelques conseils de Sun Tzu, je me gardai bien d'encercler l'ennemi complètement, afin de ne lui laisser qu'une petite porte de sortie.
Triomphant glorieusement sur l'ennemi nordique, mes glorieux amis espagnoles furent tous récompensés de leur mérites inégalés par une fiesta grandiose où paëlla et vin rouge coulèrent à flot.
La légende de EL LIBERATOR était née.
:pirat:
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http://files.filefront.com/Fullin+guerilliarpy/;12589781;/fileinfo.html
Avec juste 5900 florins, aucune artillerie et aucune cavalerie, juste des guérilléros assoiffés de VENDETTA (pas Mickael), j'ai réussi à terroriser l'ennemi, puis, à le battre !
Après avoir caché toutes mes unités, en les disséminant soigneusement un peu partout sur le champ de bataille, j'ai pris l'initiative d'aller provoquer l'ennemi avec les fesses à l'air de mon général.
Fullin, pensant à une mauvaise blague de ma part en ne voyant aucune unité se présenter devant lui, envoya tout d'abord un détachement de deux cavaleries lourdes qui se dirigèrent tout droit vers un groupe de mes guérilléros enragés pour n'en découvrir la position que trop tardivement.... Le choc fut entier. Selon lui, il n'était même pas au courant de l'existence de cette unité :roll: ..... Soit, cela ne changea guère ses dispositions pour la bataille.
Voyant sa cavalerie se faire tailler en pièce par une bande d'ibériques mal vêtus et mal chaussés, avec la rage au ventre, il se précipita en formation colonne de marche vers le centre de la carte, pour n'y rencontrer qu'une résistance encore plus vivace.
Complètement surpris et dérouté par l'intrépidité de mes valeureux paysans armées, pour ne pas dire "pris de panique", je pris la décision de passer à l'offensive.
J'entrepris à ce moment un grand mouvement général avec mes troupes vers le centre de la carte où l'ennemi, toujours hésitant, n'avait pas changé de formation et restait déployé en colonne de marche....
Désorienté, fatigué des innombrables apparitions et disparitions de ce que les prussiens qualifièrent de "Gespenstersoldaten", (soldats fantômes) l'ennemi commença à céder du terrain et bout par bout, parti en déroute.
Appliquant quelques conseils de Sun Tzu, je me gardai bien d'encercler l'ennemi complètement, afin de ne lui laisser qu'une petite porte de sortie.
Triomphant glorieusement sur l'ennemi nordique, mes glorieux amis espagnoles furent tous récompensés de leur mérites inégalés par une fiesta grandiose où paëlla et vin rouge coulèrent à flot.
La légende de EL LIBERATOR était née.
:pirat:
Dernière édition par [Grognard]_Liberalis le Lun 8 Déc 2008 - 12:36, édité 3 fois