![[Grognard]_Cosak](https://i.servimg.com/u/f68/16/63/82/43/cosak11.png)
par Sur notre gauche, Tiago Moura qui insiste pour être sur le flanc et tout dévaster avec comme seule infanterie des mousquetaires saxons. On place à droite le Dragon Hannibal dans un rôle statique et défensif (il avait joué comme ça dans la bataille précédente, mais là il n'a pris qu'un seul canon : couac). Kettch et moi sommes au centre, je pense aller soutenir le Saxon sur son flanc, et Kettch pose son 12 sur une petite butte protégée qui arrose le centre.
Très rapidement on réalise qu'il y a deux, voire trois adversaires (Brune, Melet et un peu de Ramel) sur notre flanc défendu par le Turc. Kettch et moi stoppons notre avance pour éviter qu'il ne se fasse submerger. C'est l'inconvénient d'une attaque concentrée sur un flanc : pour défendre soit on recule (mais on ne voulait pas), soit on va aider le défenseur. La position défensive tient sans trop de problème, et nous (Kettch + moi) redéployons nos renforts vers le centre, en attendant que le Saxon fasse son grand tour.
Laissant visiblement tomber leur plan initial, Brune vient vite sur Kettch (Naples), mais je reviens l'aider au tir quelques instants, avant de constater que ça tourne mal chez le Saxon. Il faut faire vite pour éviter se retrouver rapidement en 4v3, et je lance ma garde et mes grenadiers sur Brune. Après une retraite in extremis, une longue mêlée et des renforts italiens en nombre, Kettch et moi finissons par anéantir le Hollandais et une grande partie de l'Italien. Les grenadiers portugais sont décisifs, avec dans la foulée la charge des Napolitains sur le reste de la ligne hollandaise. Sur la fin de cette contre-attaque je perds énormément de troupes face à la mitraille d'un 6 italien, mais c'en est fini. Si le Hollandais avait eu des grenadiers belges bien placés, c'était fini pour nous.
Je n'ai pas trop suivi le front opposé, entre le Hannovre et l'Ottoman. En apparence c'est une neutralisation soporifique (mais nécessaire chez nous). Je pense que le Hannovrien aurait pu abandonner la place et supporter (du moins en partie) la poussée de Brune, qui aurait aussi surtout dû bénéficier du support de l'Italien, trop replié sur ses canons et légèrement occupé avec le Saxon contourneur.
Je pense que mes deux chasseurs d'élite qui ont suivi le Saxon le sauvent, ainsi qu'une cavalerie ottomane surprenante qui prend "bizarrement" la grosse artillerie westphalienne (Ramel). Cette perte scelle la fin du centre adverse, et en conséquence de la bataille.
De notre côté il faut reconnaître que l'essentiel de la bataille s'est déroulée à portée du 12" perché de Kettch, et qu'une médiocre cavalerie portugaise a fait un étrange miracle en éliminant frontalement un garde du corps de Westphalie, au milieu de troupes ennemies, avant de gober deux tirailleurs et de finir avec le moral au vert à 18/47. Ils méritent les honneurs, contrairement à certaines unités ninjas.
Télécharger le replay
Très rapidement on réalise qu'il y a deux, voire trois adversaires (Brune, Melet et un peu de Ramel) sur notre flanc défendu par le Turc. Kettch et moi stoppons notre avance pour éviter qu'il ne se fasse submerger. C'est l'inconvénient d'une attaque concentrée sur un flanc : pour défendre soit on recule (mais on ne voulait pas), soit on va aider le défenseur. La position défensive tient sans trop de problème, et nous (Kettch + moi) redéployons nos renforts vers le centre, en attendant que le Saxon fasse son grand tour.
Laissant visiblement tomber leur plan initial, Brune vient vite sur Kettch (Naples), mais je reviens l'aider au tir quelques instants, avant de constater que ça tourne mal chez le Saxon. Il faut faire vite pour éviter se retrouver rapidement en 4v3, et je lance ma garde et mes grenadiers sur Brune. Après une retraite in extremis, une longue mêlée et des renforts italiens en nombre, Kettch et moi finissons par anéantir le Hollandais et une grande partie de l'Italien. Les grenadiers portugais sont décisifs, avec dans la foulée la charge des Napolitains sur le reste de la ligne hollandaise. Sur la fin de cette contre-attaque je perds énormément de troupes face à la mitraille d'un 6 italien, mais c'en est fini. Si le Hollandais avait eu des grenadiers belges bien placés, c'était fini pour nous.
Je n'ai pas trop suivi le front opposé, entre le Hannovre et l'Ottoman. En apparence c'est une neutralisation soporifique (mais nécessaire chez nous). Je pense que le Hannovrien aurait pu abandonner la place et supporter (du moins en partie) la poussée de Brune, qui aurait aussi surtout dû bénéficier du support de l'Italien, trop replié sur ses canons et légèrement occupé avec le Saxon contourneur.
Je pense que mes deux chasseurs d'élite qui ont suivi le Saxon le sauvent, ainsi qu'une cavalerie ottomane surprenante qui prend "bizarrement" la grosse artillerie westphalienne (Ramel). Cette perte scelle la fin du centre adverse, et en conséquence de la bataille.
De notre côté il faut reconnaître que l'essentiel de la bataille s'est déroulée à portée du 12" perché de Kettch, et qu'une médiocre cavalerie portugaise a fait un étrange miracle en éliminant frontalement un garde du corps de Westphalie, au milieu de troupes ennemies, avant de gober deux tirailleurs et de finir avec le moral au vert à 18/47. Ils méritent les honneurs, contrairement à certaines unités ninjas.
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