Idée de réforme politique

Idée de réforme constitutionnelle.

Article 1: De cette réforme: le Senat est révoqué.
Article 2: L'assemblée nationale réduit le nombre de ses représentant de 577 à 301.
Article 3: Le peuple sera amené à se prononcer plus régulièrement à ce prononcé sur la marche de l'état.
Article 4: Une consultation sera mise en place via internet pour permettre au peuple de se responsabiliser et de voter directement les lois, au delà du parlement. Ainsi deux votes auront lieu pour chaque vote à l'assemblée, celui du peuple et celui du parlement, si les deux votes sont contraire, le peuple aura la prééminence de la décision.
Article 5: Tous les privilèges, exonérations, subventions, différences sont purement et simplement aboli.
Article 6: Ne demeure plus qu'un seul contrat de travail
Article 7: Les déficits sont purement interdit et aucun emprunt ne peut être contracté par l'état
Article 8: Les sociétés dont le capital est supérieur à 10 milliards d'euros sont directement nationalisé et rattaché au pouvoir de décision de l'assemblée, chaque français obtient des titres de propriété de cette dite société.
Article 9: Ne sont pas éligible à des postes politiques les fonctions suivantes: Fonctionnaire de l'état, Rentiers, Avocats.

Vive le bolchévisme !

développe? Une nationalisation avec redistribution des actions aux français mènerai au bolchevisme?
Non puisque les sociétés appartiendrai directement aux français et pas à l'état, nous aurions donc une nation de travailleurs-capitaliste qui ne verrai plus la mondialisation et le business de manière néfaste mais au contraire un moyen de s'enrichir (on en profite pour supprimer tout un tas d'allocation et d'aide en tout genre bien entendu ce qu'il faut c'est responsabiliser la population).....
Et ils toucheraient tous les ans les dividendes de ces sociétés géré comme des boites privée avec zero intervention de l'état!

[Grognard]_Why-Not a écrit:Idée de réforme constitutionnelle.

Article 3: Le peuple sera amené à se prononcer plus régulièrement à ce prononcé sur la marche de l'état.

Pour quels types de réformes ?
A moins de définir précisément les textes concernés (et ce n'est pas la vocation d'une Constitution), il subsistera une part d'arbitraire, comme aujourd'hui pour convoquer un référundum.

[Grognard]_Why-Not a écrit:
Article 4: Une consultation sera mise en place via internet pour permettre au peuple de se responsabiliser et de voter directement les lois, au delà du parlement. Ainsi deux votes auront lieu pour chaque vote à l'assemblée, celui du peuple et celui du parlement, si les deux votes sont contraire, le peuple aura la prééminence de la décision.

Aïe.

Première remarque sur le fond : dans ce cas, à quoi sert le Parlement ? Autant le supprimer et le remplacer par une "agora numérique".

Deuxième remarque sur la faisabilité. Internet et les terminaux qui permettent d'y accéder sont fabriqués/contrôlés/très influencés par des Etats étrangers.
Ne serais-tu pas gêné que des pirates, Google, ou les services secrets chinois puissent truquer les votes ?

Enfin, tous les citoyens n'ont pas, ni le temps, ni les connaissances pour donner leur avis sur tout.
C'est le principe de la démocratie représentative.

[Grognard]_Why-Not a écrit:
Article 5: Tous les privilèges, exonérations, subventions, différences sont purement et simplement aboli.

Bute sur une question d'ordre pratique : qu'est-ce qu'un privilège ?

Même en théorie, c'est problématique pour les exonérations/subventions. Est-il illégitime d'aider une famille nombreuse qui investit dans l'avenir avec ses enfants ? Ou une entreprise qui se bat à l'international dans un secteur stratégique ?

[Grognard]_Why-Not a écrit:
Article 8: Les sociétés dont le capital est supérieur à 10 milliards d'euros sont directement nationalisé et rattaché au pouvoir de décision de l'assemblée, chaque français obtient des titres de propriété de cette dite société.

Plusieurs problèmes...
Déjà, il ne faudra plus compter sur aucun investissement extérieur, ce qui est très périlleux, vu les IDE qui rentrent en France, chaque année.

Ensuite, le public est loin d'être un garant de la bonne gestion des boîtes.
Safran, Thalès, ou Dassault sont plus pérennes, loin des griffes de l'Assemblée.

Un Patriot Act à l'américaine, sur les grandes décisions des entreprises stratégiques, doublé d'un développement de l'actionnariat salarié me paraît plus raisonnable.