par Seimour Mar 19 Aoû 2014 - 11:30
[Grognard]_Driant a écrit:je ne suis pas tout à fait d'accord... les 2/3 de la bataille se sont déroulés à 3 armées contre 2. un Polonais inerte retranché sur une colline, qui n'utilise que 6 unités parce que je hurle sur le flanc.
Un Prussien qui fait l'inverse de ce que je lui demande... qui tente de traverser le champ de boue!
Nous avons perdu non pas par brio tactique, ni stratégique mais plutôt par ignorance des ordres, immobilisme incompréhensible et surtout 2 joueurs qui ne sont pas sur TS (dont Ztrain qui est un débutant de surcroît)... alors j'emprunterai les mots de Corneille " à vaincre sans péril on triomphe toujours sans gloire"... inutile de parader et de se gausser d'un plan somme toute banal quand les atouts majeurs sont de votre côté ( communication et compétence des joueurs)
J'avais globalement prédit exactement ce que chacun de vous allait faire. Toi et Dark jouez TOUJOURS les mêmes armées et de la même façon ce qui rend la bataille extrêmement prévisible. Darkage m'a dit que vous vouliez utiliser le Prussien pour remplacer vos unités entamé sur le centre ce qui revient à augmenter vos pertes dans une bataille d'attrition ou nous dominons largement sur le plan de l'artillerie. Ztrain est un camper nullissime qui refuse d'attaquer et il faut jouer en conséquence. Les dragons sont généralement peu courageux et refusent invariablement d'attaquer à la moindre difficulté. En sachant tout cela, les réactions possibles sont assez facile à prédire.
Vous aviez un énorme avantage de cavalerie prévisible dans le lobby alors je n'allais tout de même pas demander à notre équipe d'essayer de compenser au niveau de la cavalerie. Il est souvent préférable de contrebalancer l'avantage de l'autre équipe en misant sur autre chose pour éviter les massacres. Même si vous aviez eu le Polonais ou le Prussien sur le flanc face à l'italien, ce dernier avait tout le loisir de reculer sous le nombre. Une attaque du Polonais sur le russe était tout aussi condamné car encore une fois, le terrain permettait à Melet de refuser le flanc. Vous aviez de meilleures positions que nous sur le papier: gigantesques collines, forêts, maison, etc. mais nous passons en force alors que 3 joueurs sur 4 semblent vouloir défendre le champs de boue. Au final, vous faites ce qu'ont voulaient, vous jouez notre jeu(L'artillerie) au lieu de jouez le votre(cavalerie/infanterie).
L'immobilisme de Ztrain et l'incompétence du Dragon sont cruciales mais leur remplacement n'aurait pas changé beaucoup de choses dans vos possibilités de déploiement une fois que vous nous aviez permit de vous acculer en terrain étroit face à une concentration de canons.
Votre seule chance réelle aurait été de vous repliez sur la colline polonaise et de repassez en force sur Melet. Il ne faut pas se mettre à pleurer lorsque, en jouant toujours la même armée de la même façon, son adversaire fini par développer des contre-mesures efficaces.
Au final, les belles victoires contre des adversaires à forces égales n'existent presque pas. Dans une game où les joueurs sont tous bon et où les nations sont équivalentes, le tableau des scores montre des victoires à la Pyrrhus. Les grandes victoires de Napoléon se font face à des adversaires d'une incompétence terrible face à la meilleure armée de l'époque.
PS: Tu as fini par conclure avec cette jeune damoiselle?